2020, une année clé pour l’entretien professionnel.

Pourquoi parler de l’entretien professionnel, alors que l’actualité reste pour beaucoup l’élection du CSE ?
Depuis le 7 mars 2014, l’entretien professionnel est un rendez-vous obligatoire à réaliser tous les 2 ans entre le salarié et l’employeur. Tous les 6 ans, l’entretien professionnel doit faire l’objet d’un ETAT RECAPITULATIF. 
Les premiers entretiens récapitulatifs sont donc à réaliser avant le 31 décembre 2020.
2020 est donc une année clé !

Les entreprises qui réalisent un entretien annuel d’évaluation sont concernées ?
L’entretien annuel d’évaluation, qui n’est pas obligatoire, propose d’évaluer la performance du salarié et de lui fixer de nouveaux objectifs. Il ne peut être réalisé au même moment que l’entretien professionnel, qui vise à aborder les perspectives professionnelles du salarié. Son sens est très différent.

Tous les entretiens ne sont pas réalisés, que faire ?
Mon conseil est tout d’abord de construire un état des lieux du parcours des salariés sur les 6 dernières années et de programmer les entretiens en conséquence. La réalisation des entretiens avec, le cas échéant, un état récapitulatif, est une véritable occasion de projeter un plan de développement des compétences (plan de formation) pluriannuel, plus performant et moins coûteux.

Quel risque pour l’entreprise de ne pas respecter cette réglementation ?
Pour toutes les entreprises, le risque est le non-respect du maintien de l’employabilité du salarié. 
Pour les entreprises de 50 salariés et plus, peut s’ajouter un abondement du CPF du salarié par l’entreprise d’un montant de 3000 euros. La note peut être salée !

Sylvie LENOIR.

Pour en savoir plus et être accompagné …

Alex POMARES prend en charge le développement du pôle coaching du cabinet XXL Stratégie & organisation.

Après avoir ouvert une seconde antenne Lilloise il y a un an, le cabinet amiénois renforce son équipe en accueillant Alex POMARES, coach de dirigeants et managers. Cet expert en intelligence émotionnelle et relationnelle devenu successivement conférencier et formateur en entreprise, prend aujourd’hui en charge le développement du pôle coaching du cabinet.

Créé en 2005, XXL est un cabinet de conseil en stratégie qui regroupe aujourd’hui 5 consultants spécialisés dans l’audit, le conseil et l’accompagnement des organisations. La vocation du cabinet est de faire grandir les entreprises et de les accompagner dans leur développement. Pour répondre à la demande croissante de ses clients, XXL renforce son équipe en intégrant Alex POMARES, Coach certifié dans l’accompagnement des dirigeants, managers et de leurs équipes.

Selon Alex POMARES, le coaching d’entreprise permet d’accompagner, un individu, une équipe ou une organisation dans atteinte des objectifs et l’optimisation de la performance tout en favorisant l’épanouissement dans le travail. L’action du coach consiste alors à créer un environnement permettant au coaché de trouver ses propres solutions. Le coaching doit véritablement impliquer la personne et l’aider à changer de fonctionnement dans la durée.

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CONFERENCE : La motivation, force motrice de l’entreprise.

La performance ne se construit pas dans l’obsession de vaincre, mais dans la passion constante de faire et progresser dans son métier. En identifiant les mécanismes qui créent la motivation, vous pouvez alors construire un système de management capable de donner à chacun, une vision qui mobilise, une mission qui motive et définir des règles du jeu qui sécurisent. Le management est un véritable métier avec ses outils, ses méthodes, ses règles et ses principes qui rappellent que le destin de l’entreprise se construit toujours à l’intérieur d’elle-même.

Intervenant : Philippe Rousselle a accompagné depuis 2005 plus de 300 entrepreneurs, managers et leurs équipes.
Donner du sens, piloter le changement, cultiver la volonté de réussir
et manager la performance résument son métier : la stratégie et l’organisation des entreprises

SOIREE IPOT (Industrie Porte Ouverte en Thiérache) – JEUDI 22 MARS à 19h00 – Ecomusée de Fourmies.
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Les 5 dysfonctionnements d’une EQUIPE / La pyramide de Lencioni

Patrick Lencioni dans son livre « les 5 dysfonctionnements d’une équipe » nous propose sa pyramide des 5 comportements que l’on peut assimiler à des niveaux de maturité d’équipe. Ces niveaux se construisent les uns sur les autres, le niveau supérieur ne pouvant être élaboré que si le niveau inférieur est consolidé.

Niveau 1 : La confiance. On ne peut pas construire une équipe sans confiance. Il faut que les membres de l’équipe se fassent confiance entre eux et donc acceptent de laisser transparaitre leur vulnérabilité. Un des frein à cette transparence est la peur d’être vulnérable. La tentation est grande de ne pas communiquer aux autres des informations sur sa vie privée ou sur ses défauts personnels pour ne pas donner prise aux critiques.

Niveau 2 : Les conflits. Une fois atteinte la confiance entre les membres de l’équipe, il faut aborder le niveau supérieur, à savoir ne plus avoir peur d’aborder des points conflictuels concernant la marche de l’entreprise. Une évidence de la non atteinte de ce niveau est justement l’absence et l’évitement des conflits donnant l’impression d’une fausse harmonie au sein de l’équipe, alors que des conflits larvés s’accumulent. A l’inverse ce niveau est réussi si les membres de l’équipe sont capables d’exprimer et défendre leurs points de vues mais aussi d’écouter ceux des autres pour pouvoir argumenter. A la fin de ce “conflit”, quand une décision est prise, les parties prenantes doivent être convaincues par cette décision, ou au minimum être engagées à la mettre en œuvre. Ce qui nous amène au niveau suivant.

Niveau 3 : L’engagement. Si le niveau deux permet d’avoir des “discussions franches” pour s’engager sur une décision, il est aussi primordial qu’une fois la décision prise, elle soit mise en action. Un échec à ce niveau peut prouver que le conflit de l’étape précédente n’a pas été complètement épuisé et les décisions acceptées. L’échec à franchir cette étape s’illustre par l’ambigüité des actions des membres de l’équipe. Leurs actions n’étant pas claires en regard des décisions prises. Il peut être judicieux dans ce cas de revenir à l’étape précédente pour définitivement purger de précédents arguments ou aborder les nouveaux arguments qui n’auraient pas été pris en compte.

Niveau 4 : La responsabilité. Le quatrième niveau accessible uniquement, tout comme les autres niveaux, en cas de réussite du niveau précédent est l’acceptation d’être redevable des actions acceptés. Un échec à ce niveau se voit par la fuite de certains membres de l’équipe face à leurs responsabilités ou bien la complaisance dans des résultats médiocres par rapport à l’objectif fixé. Chacun devant pouvoir compter sur les autres membres de l’équipe, il est important que chacun endosse ses responsabilités pour que l’équipe avance.

Niveau 5 : L’attention aux résultats. Le cinquième niveau, “l’attention aux résultats” suite logique du niveau précédent, peut être biaisé par des problèmes d’égo et de statuts personnels. En effet certains peuvent vouloir faire passer leurs objectifs personnels avant les objectifs d’équipe ou d’entreprise actés précédemment.

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Commercial : La recette du bonheur.

Il y a tellement de bonnes raisons d’être un commercial heureux… Voici notre recette du bonheur :

Etre heureux en donnant du sens et en créant de la valeur
Sentir heureux dans ce métier relève de la capacité à :
créer du lien en toute confiance avec ses clients dans une logique de co-construction, se sentir utile et reconnu au sein de son organisation et de son management, trouver le juste équilibre entre ses valeurs personnelles et ses objectifs professionnels. Lorsqu’ils sont combinés, ces 3 fondements indissociables fixent un cadre dans lequel un commercial évolue de façon autonome, responsable et engagée.

Etre heureux en performant et en obtenant de la reconnaissance

Les facteurs qui contribuent à rendre heureux un commercial sont nombreux : La passion pour mon métier et l’appétence pour ses produit ou services commercialisés, La performance et l’atteinte des objectifs qualitatifs et quantitatifs : l’atteinte des résultats a un effet euphorisant, La reconnaissance de ses pairs, qui est l’un des principaux moteurs. En effet, le commercial a besoin d’être reconnu et apprécié pour son travail, pour ses résultats, pour ce qu’il est… ; La satisfaction et la reconnaissance des clients procurent également un bien-être évident. Avoir le sentiment d’être en phase avec le client et de répondre de façon exhaustive à ses besoins ; Les relations au sein de l’équipe : confiance mutuelle, échanges de bonnes pratiques, partages sur des problématiques client communes qui contribuent à enrichir la fonction et à améliorer la performance.

Etre heureux en réunissant quelques qualités indispensables  :
La curiosité (pour bien appréhender les attentes de son client) ; Le goût de l’aventure : le commercial aime découvrir de nouvelles approches, intégrer de nouvelles technologies ; L’anticipation, pour avoir toujours un coup d’avance ; L’ouverture d’esprit ; L’écoute ; L’humilité ; L’autonomie.

Etre heureux et motivé :
Aimer relever les challenges pour atteindre ses objectifs. Savoir se remettre facilement en question car c’est un métier qui nécessite de faire ses preuves de façon récurrente. Être constamment de bonne humeur pour «motiver » son client et être convaincant.

Et vous, commerciaux et managers commerciaux, qu’est-ce qui vous rend heureux ?