L’équipe XXL s’agrandit !

Nous avons le plaisir de vous annoncer l’arrivée de Patrick LEROUX au sein de l’équipe XXL.
 Il nous rejoint en tant que « consultant en communication & RH ».

Fort de ses nombreuses années d’expérience en tant que responsable communication, formateur et journaliste, Patrick aide les clients à définir leur projet d’entreprise mais aussi à le rédiger et à le partager avec ses différents acteurs internes et externes.

Ses missions principales s’articulent autour de la communication interne : Positionner les rôles et missions de chacun, faire connaître les métiers, bien intégrer les nouveaux salariés et stimuler l’engagement.

Mais aussi, la communication externe qui prend en considération les collaborateurs comme vecteurs d’images afin de valoriser les réussites, attirer de nouveaux salariés, améliorer la relation client et optimiser la gestion des accueils physiques, téléphoniques et web.

Bienvenue à toi Patrick dans ce nouveau challenge plein de promesses et d’épanouissement.

Les règles du management de l’équipe à distance.

Manager une équipe à distance, fait peur à bon nombre de managers. Le sentiment qu’ils expriment est une perte de contrôle sur le collaborateur et son travail, et plus généralement la perte de l’emprise et de l’autorité sur le collaborateur. En réalité, peu importe le lieu de travail, le collaborateur doit avancer sur ses objectifs et fournir des résultats. Ce sont ces résultats qui vous indiqueront s’il est ou non efficace, peu importe qu’il soit à distance ou physiquement présent au bureau.

1 ) Un cadre avec des horaires d’activité précis. Le travail à distance doit être régi par un cadre précis, sans ambiguïté et connu de tous. Pour ceux qui souhaiteraient que leurs collaborateurs soient joignables à tout moment de la journée pour “vérifier” qu’ils travaillent bien : Mettez l’idée aux oubliettes. Au bureau, nous avons tous des impératifs : réunions, appels avec des prestataires ou des fournisseurs, réunions de travail entre collègues, etc… Et ne sommes pas forcément disponibles sur l’instant. Il en est de même lorsque l’on travaille à distance.

2 ) Faire confiance. Laisser un collaborateur expérimenter le télétravail c’est lui faire confiance. Si quelqu’un n’a pas envie de travailler, qu’il soit au bureau ou chez lui, cela ne change rien. En tant que manager il n’y a pas d’autres choix que de lâcher du lest.

3 ) Basculer en mode “concentration extrême”. Le travail à distance a cet avantage que l’open-space n’a pas : Pas de bruit, pas d’interruptions par les collègues… Place à la concentration. Le télétravail est parfait pour tous les travaux en profondeur nécessitant calme et concentration, la planification de projets, la résolution de problèmes complexes. En tant que manager, respectez la concentration et le temps de travail de vos collaborateurs.

4 ) Ne pas abuser du téléphone. Au bureau, on est tenté d’aller voir quelqu’un pour lui demander “où il a rangé tel document”. Lorsque ce même collaborateur travaille à distance, on est tenté de reproduire ce comportement en l’appelant. Stop : Le téléphone ne devrait servir que pour partager les informations importantes ou pour traiter des urgences. Si ce que vous avez à demander n’est ni important ni urgent, abstenez-vous ou envoyez un mail.

5 ) Une communication efficace. La manière de communiquer influe directement sur l’efficacité d’une équipe. Choisissez ensemble les outils nécessaires à la bonne communication (mails, visio, messagerie instantanée, etc…). Ces outils doivent être simples, convenir à tous, permettre un partage aisé de l’information et une prise de parole facilitée lorsque plusieurs membres de l’équipe travaillent à distance.

6 ) Pas de reporting à outrance. En tant que manager, vous êtes là pour vous assurer que les objectifs sont bien atteints. Pour suivre les résultats, pas pour faire du micro-management et suivre l’état d’avancement de chaque tâche. Le reporting devrait être le même à distance que lorsqu’on est au bureau, il faut se limiter à l’essentiel.

7 ) Organiser des réunions pour maintenir la cohésion d’équipe. Afin de maintenir une synergie d’équipe, vous devez organiser des réunions d’équipe obligatoires pour tous y compris ceux travaillant à distance.

Je souhaite être accompagné et en savoir plus.

2020, une année clé pour l’entretien professionnel.

Pourquoi parler de l’entretien professionnel, alors que l’actualité reste pour beaucoup l’élection du CSE ?
Depuis le 7 mars 2014, l’entretien professionnel est un rendez-vous obligatoire à réaliser tous les 2 ans entre le salarié et l’employeur. Tous les 6 ans, l’entretien professionnel doit faire l’objet d’un ETAT RECAPITULATIF. 
Les premiers entretiens récapitulatifs sont donc à réaliser avant le 31 décembre 2020.
2020 est donc une année clé !

Les entreprises qui réalisent un entretien annuel d’évaluation sont concernées ?
L’entretien annuel d’évaluation, qui n’est pas obligatoire, propose d’évaluer la performance du salarié et de lui fixer de nouveaux objectifs. Il ne peut être réalisé au même moment que l’entretien professionnel, qui vise à aborder les perspectives professionnelles du salarié. Son sens est très différent.

Tous les entretiens ne sont pas réalisés, que faire ?
Mon conseil est tout d’abord de construire un état des lieux du parcours des salariés sur les 6 dernières années et de programmer les entretiens en conséquence. La réalisation des entretiens avec, le cas échéant, un état récapitulatif, est une véritable occasion de projeter un plan de développement des compétences (plan de formation) pluriannuel, plus performant et moins coûteux.

Quel risque pour l’entreprise de ne pas respecter cette réglementation ?
Pour toutes les entreprises, le risque est le non-respect du maintien de l’employabilité du salarié. 
Pour les entreprises de 50 salariés et plus, peut s’ajouter un abondement du CPF du salarié par l’entreprise d’un montant de 3000 euros. La note peut être salée !

Sylvie LENOIR.

Pour en savoir plus et être accompagné …

Alex POMARES prend en charge le développement du pôle coaching du cabinet XXL Stratégie & organisation.

Après avoir ouvert une seconde antenne Lilloise il y a un an, le cabinet amiénois renforce son équipe en accueillant Alex POMARES, coach de dirigeants et managers. Cet expert en intelligence émotionnelle et relationnelle devenu successivement conférencier et formateur en entreprise, prend aujourd’hui en charge le développement du pôle coaching du cabinet.

Créé en 2005, XXL est un cabinet de conseil en stratégie qui regroupe aujourd’hui 5 consultants spécialisés dans l’audit, le conseil et l’accompagnement des organisations. La vocation du cabinet est de faire grandir les entreprises et de les accompagner dans leur développement. Pour répondre à la demande croissante de ses clients, XXL renforce son équipe en intégrant Alex POMARES, Coach certifié dans l’accompagnement des dirigeants, managers et de leurs équipes.

Selon Alex POMARES, le coaching d’entreprise permet d’accompagner, un individu, une équipe ou une organisation dans atteinte des objectifs et l’optimisation de la performance tout en favorisant l’épanouissement dans le travail. L’action du coach consiste alors à créer un environnement permettant au coaché de trouver ses propres solutions. Le coaching doit véritablement impliquer la personne et l’aider à changer de fonctionnement dans la durée.

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Les 5 dysfonctionnements d’une EQUIPE / La pyramide de Lencioni

Patrick Lencioni dans son livre « les 5 dysfonctionnements d’une équipe » nous propose sa pyramide des 5 comportements que l’on peut assimiler à des niveaux de maturité d’équipe. Ces niveaux se construisent les uns sur les autres, le niveau supérieur ne pouvant être élaboré que si le niveau inférieur est consolidé.

Niveau 1 : La confiance. On ne peut pas construire une équipe sans confiance. Il faut que les membres de l’équipe se fassent confiance entre eux et donc acceptent de laisser transparaitre leur vulnérabilité. Un des frein à cette transparence est la peur d’être vulnérable. La tentation est grande de ne pas communiquer aux autres des informations sur sa vie privée ou sur ses défauts personnels pour ne pas donner prise aux critiques.

Niveau 2 : Les conflits. Une fois atteinte la confiance entre les membres de l’équipe, il faut aborder le niveau supérieur, à savoir ne plus avoir peur d’aborder des points conflictuels concernant la marche de l’entreprise. Une évidence de la non atteinte de ce niveau est justement l’absence et l’évitement des conflits donnant l’impression d’une fausse harmonie au sein de l’équipe, alors que des conflits larvés s’accumulent. A l’inverse ce niveau est réussi si les membres de l’équipe sont capables d’exprimer et défendre leurs points de vues mais aussi d’écouter ceux des autres pour pouvoir argumenter. A la fin de ce “conflit”, quand une décision est prise, les parties prenantes doivent être convaincues par cette décision, ou au minimum être engagées à la mettre en œuvre. Ce qui nous amène au niveau suivant.

Niveau 3 : L’engagement. Si le niveau deux permet d’avoir des “discussions franches” pour s’engager sur une décision, il est aussi primordial qu’une fois la décision prise, elle soit mise en action. Un échec à ce niveau peut prouver que le conflit de l’étape précédente n’a pas été complètement épuisé et les décisions acceptées. L’échec à franchir cette étape s’illustre par l’ambigüité des actions des membres de l’équipe. Leurs actions n’étant pas claires en regard des décisions prises. Il peut être judicieux dans ce cas de revenir à l’étape précédente pour définitivement purger de précédents arguments ou aborder les nouveaux arguments qui n’auraient pas été pris en compte.

Niveau 4 : La responsabilité. Le quatrième niveau accessible uniquement, tout comme les autres niveaux, en cas de réussite du niveau précédent est l’acceptation d’être redevable des actions acceptés. Un échec à ce niveau se voit par la fuite de certains membres de l’équipe face à leurs responsabilités ou bien la complaisance dans des résultats médiocres par rapport à l’objectif fixé. Chacun devant pouvoir compter sur les autres membres de l’équipe, il est important que chacun endosse ses responsabilités pour que l’équipe avance.

Niveau 5 : L’attention aux résultats. Le cinquième niveau, “l’attention aux résultats” suite logique du niveau précédent, peut être biaisé par des problèmes d’égo et de statuts personnels. En effet certains peuvent vouloir faire passer leurs objectifs personnels avant les objectifs d’équipe ou d’entreprise actés précédemment.

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Commercial : La recette du bonheur.

Il y a tellement de bonnes raisons d’être un commercial heureux… Voici notre recette du bonheur :

Etre heureux en donnant du sens et en créant de la valeur
Sentir heureux dans ce métier relève de la capacité à :
créer du lien en toute confiance avec ses clients dans une logique de co-construction, se sentir utile et reconnu au sein de son organisation et de son management, trouver le juste équilibre entre ses valeurs personnelles et ses objectifs professionnels. Lorsqu’ils sont combinés, ces 3 fondements indissociables fixent un cadre dans lequel un commercial évolue de façon autonome, responsable et engagée.

Etre heureux en performant et en obtenant de la reconnaissance

Les facteurs qui contribuent à rendre heureux un commercial sont nombreux : La passion pour mon métier et l’appétence pour ses produit ou services commercialisés, La performance et l’atteinte des objectifs qualitatifs et quantitatifs : l’atteinte des résultats a un effet euphorisant, La reconnaissance de ses pairs, qui est l’un des principaux moteurs. En effet, le commercial a besoin d’être reconnu et apprécié pour son travail, pour ses résultats, pour ce qu’il est… ; La satisfaction et la reconnaissance des clients procurent également un bien-être évident. Avoir le sentiment d’être en phase avec le client et de répondre de façon exhaustive à ses besoins ; Les relations au sein de l’équipe : confiance mutuelle, échanges de bonnes pratiques, partages sur des problématiques client communes qui contribuent à enrichir la fonction et à améliorer la performance.

Etre heureux en réunissant quelques qualités indispensables  :
La curiosité (pour bien appréhender les attentes de son client) ; Le goût de l’aventure : le commercial aime découvrir de nouvelles approches, intégrer de nouvelles technologies ; L’anticipation, pour avoir toujours un coup d’avance ; L’ouverture d’esprit ; L’écoute ; L’humilité ; L’autonomie.

Etre heureux et motivé :
Aimer relever les challenges pour atteindre ses objectifs. Savoir se remettre facilement en question car c’est un métier qui nécessite de faire ses preuves de façon récurrente. Être constamment de bonne humeur pour «motiver » son client et être convaincant.

Et vous, commerciaux et managers commerciaux, qu’est-ce qui vous rend heureux ?